Terre de lumière

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Les leçons de vie de la prophétie des andes 3 / 14

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Jeudi 09 Octobre 2014

Extraie des leçons de vie de la prophétie des Andes.

Dossier complet sur la 6 ixième révélation ! ( 14 chapitres ! )

3 - LES DIVERS MÉCANISME DE CONTRÔLE ( 3 / 14 ).

L'intimidateur

Les intimidateurs  attirent sur eux l'attention par un verbe haut, par la force physique, les menaces, les éclats brusques embarrassantes, de réactions colérique et, dans les cas extrêmes, d'explosions de fureur. L'énergie va vers eux car leur entourage redoute et vit dans la hantise de « la prochaine explosion ». Les intimidateurs tiennent toujours le devant de la scène. Ils vous font peur ou vous rendent anxieux.
Fondamentalement égocentriques, leur comportement s'appuie sur toute une gamme de procédés: donner des ordres aux autres, parler sans arrêt, se montrer autoritaires, inflexibles, sarcastiques, voir violents. Les intimidateurs  sont probablement les individus les plus coupé de l 'énergie universelle. Ils attirent d'ordinaire les autres en créant un halo de pouvoir. Chacun des mécanismes de domination crée une dynamique spécifique appelée mécanisme de défense. Le mécanisme de défense créé par un intimidateur s'adresse le plus souvent au plaintif – une dynamique d'énergie particulièrement passive. Le plaintif,  sentant que l'intimidateur est en train de lui dérober son énergie dans des proportions terrifiantes, essaie de faire cesser cet échange menaçant en adoptant une attitude humble et désarmée. « regarde ce que tu me fait. Ne me fait pas de mal, je suis trop faible. » le plaintif  tente de culpabiliser l'intimidateur pour enrayer son attaque et récupérer un flux d'énergie. L'autre possibilité de résister, c'est d'adopter le rôle du contre-intimidateur. Ce mécanisme se produit quand l'attitude plaintive ne marche pas ou, probablement, quand la personnalité de l'autre est, elle aussi, agressive. Cette personne oppose alors une résistance semblable à l'attaque du premier intimidateur. Si l'un de vos parents a été un intimidateur, il est vraisemblable que l’un de ses propres parents était un intimidateur ou un plaintif passif.


L'interrogateur

Les interrogateurs  jouent moins de la menace physique, mais ils ont l’habitude de briser le moral et la volonté en considérant avec suspicion toutes les activités et toutes les motivations. Critique hostiles, ils cherchent des occasions de mettre les autres dans leur tort. Plus ils insistent sur vos fautes ou vos erreurs, plus vous tiendrez compte d'eux, plus vous serez sensibles au moindre de leur gestes. Plus vous vous efforcez de montrer votre compétence ou de leur répondre, plus vous envoyez de l'énergie. tout ce que vous direz sera sans doute utilisé contre vous à un moment ou un autre. Vous vous sentirez perpétuellement sous tutelle. D'une vigilance extrême, leur comportement peut être cynique, sceptique, sarcastiques, agaçant, perfectionniste, moralisateur, et même férocement manipulateur. Ils attirent l'attention des autres par leur esprit, leur logique infaillible,leurs connaissances précises et leur intelligence. En tant que parent, les interrogateurs engendrent des enfants indifférent et parfois des plaintifs. Les deux variétés veulent échapper aux investigations. Les indifférents veulent éviter d'avoir à fournir une réponse (et se trouver ainsi délestés de leur énergie) face à l’examen constant et au harcèlement de l'interrogateur.


L'indifférent

Les indifférents sont pris dans le monde intérieur de leurs conflits non résolus, de leurs craintes et du manque de confiance en eux- mêmes. Ils croient inconsciemment que, s'ils paraissent mystérieux ou détachés, les autres les feront sortir de leur coquille. Souvent solitaires, ils gardent leur distances par peur que les autres ne leur imposent leur volonté ou ne contestent leur décisions (a la manière de leurs parents interrogateurs). Croyant qu'ils doivent tout faire par eux-mêmes ils ne demande pas d'aide. Ils ont besoin de beaucoup d' « espace » et évitent en général d'être mis en demeure de s'engager. Quand ils étaient enfants, ils n'étaient pas souvent autorisés à satisfaire leur besoin d'indépendance. On ne reconnaissait pas leur personnalité. Enclins à glisser vers le rôle plaintif, ils n'imaginent pas que leur propre réserve puisse être la cause de leur difficulté à acquérir ce qu'ils souhaitent par exemple (l'argent, l'amour, l'estime de soi-même), ou qu'elle soit responsable de leur impressions de stagnation ou de confusion. Ils voient souvent leur principal problème comme un manque (d'argent, d'amis, de contacts sociaux, d'instruction).
Leur comportement va du désintérêt, du manque de disponibilité, du refus de coopérer à la condescendance, au rejet, à l'opposition et à la dissimulation. Doués pour utiliser le détachement comme une défense, ils tendent à couper le flux de leur propre énergie avec des expressions du genre: « je suis différent des autres ». « personne ne comprend vraiment ce que j'essaie de faire », « je n’aie pas les idées claires » « je ne veux pas jouer le jeu » « si seulement j'avais...». Les occasions leur échappent tandis qu'ils ne cessent de couper les cheveux en quatre.
Au moindre signe de conflit ou de confrontation, les indifférents se fond vagues et peuvent littéralement disparaître (en filtrant les appelles téléphoniques ou en ne se rendant pas au rendez-vous convenus). Au début, ils attirent l'attention par leur personnalité mystérieuse, insaisissable. Les indifférents  engendrent en général des interrogateurs, mais ils peuvent aussi entrer en interactions avec des intimidateurs ou des plaintifs, parce qu'ils sont au centre du continuum.

 
Le plaintif ou la victime

Les plaintifs  ne coïncidèrent jamais qu'ils ont suffisamment de pouvoir pour affronter le monde d'une façon active, ils attirent l'énergie vers eux en provoquant la sympathie. S’ils réagissent par le mutisme, il peuvent glisser vers le rôle de l'indifférent, mais, en bon plaintifs  ils s'assurent que leur silence ne passera pas inaperçu. Toujours pessimistes, les plaintifs attirent l'attention par un visage soucieux, des soupirs des tremblements, des pleurs, ils regardent fixement au loin, répondent lentement aux questions, et ressassent des tragédies et des situations douloureuses. Ils s’effacent et s'inclinent toujours devant les autres. Leurs deux mots favoris sont « oui, mais... ». Les plaintifs séduisent d'abord par leur vulnérabilité et leur besoin d'aide. Mais ils ne tiennent pas vraiment à trouver des solutions car, alors, ils perdraient leur source d’énergie. Ils peuvent aussi afficher une attitude exagérément conciliante, qui les mènes finalement à considérer que l'on profite d'eux, ce qui renforce leur méthode d'acquisition de l'énergie. Étant accommodants, il leur est difficile de définir des frontières et des limites, et la gamme de leurs attitudes va de la persuasion, de la défensive, des excuses, jusqu'aux explications interminables, au bavardage surabondant, aux tentatives pour essayer de résoudre, des problèmes qui ne les regarde pas. Ils se laissent utiliser comme des objets, parfois à cause de leur beauté ou de leurs faveurs sexuelles, et ils ont ensuite l'impression d'être considérés comme quantité négligeable. Les plaintifs  consolident leur position de victimes en attirant les gens qui les intimident. Dans le cycles extrêmes de la violence domestique, un intimidateur fera au plaintif des scènes de plus en plus terribles, jusqu'à atteindre un paroxysme. Ensuite, l'intimidateur  battra en retraite et s'excusera, émettant ainsi l'énergie qui ramènera le plaintif dans le cycle.


Prochainement '' LES MÉCANISME DE DOMINATION SE FONDENT SUR LA PEUR '' ( 4 ) Dans la rubrique " Docs'Spirit " 


23/04/2016
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