Terre de lumière

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Nous avons tué notre mère ! ( Édition d' un de mes textes ancien )

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Édition d' un de mes Ancien texte ..



Nous avons tué notre mère !

L'homme qui vivait dans la nature ne manquait de rien, 
elle lui apportait tout. 
Il construisait en sont sein, il reconnu ce qui avait de bon en elle pour se nourrir.
L'eau était claire comme du Cristal.

L'homme dansait avec ses semblables, racontait des contes et des histoires aux enfants de son village. 
Il découvrit d'autre camp d'autre lieux et s'échangèrent leur 
mets, leur savoir. Dans le partage l'homme devenait grand !
Il incarnait l'esprit de la TERRE !
Avec respect et fiéreté, sa mère nature le portait.

Les arbres était sa grande pharmacie, il avait apprit les secrets des plantes.
Ainsi il n'avait qu'a observer pour apprendre et comme ses frères animal y trouver sa place.

Sa mère nature lui avait doté d'un tel potentiel.
L'homme chantait, dansait, parlait, riait, IL RIAIT ! Sons existence se conjuguait avec le verbe ÊTRE !
Ainsi il passait son existence de saison en saison de vie a la mort au sein du VIVANT. 

Un jour pourtant en haut des canyon il voulu voir a l'horizon si la terre était ronde. 
Au-delà de sa vision, sa mère lui avait-elle caché quelque chose ? 
Pouvait-il tombé ?

Au aujourd’hui il n'habite plus dans les arbres. Il sont remplacé par une matière morte que l' on appelle BÉTON.

L'homme ne cour plus, ne fabrique plus, ou seulement pour ses propre ILLUSIONS.
Sa mère il ne là reconnaît plus. Il s'est inventé un autre monde ou sa vie ne se conjugue plus qu'avec AVOIR ! 

Désormais rien ne lui est gratuit. Mais ou sont passé les forets, les rivières, ses frères animal.
Que lui murmures les vents courant entre les gratte-ciel. Que chante la pluie tombante sur les
terrasses ? Il ne sais pas. Il ne sais plus.

Pour lui la vie se compte. Pour lui la vie se gagne ou se perds dans les filets de sont temps.
Qui est-il ? Il ne sait plus.. De l'eau dans ses entrailles ? De l'aire dans ses poumons ?

« ô homme, loin de la nature tu deviens froid, comme la mort qui t'attend. De tes millier de rôle que tu affectionne, il ne restera rien ! Rien que de la poussière.. et des os.. »

 

 

-- Nakahijo --



18/09/2020
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